Bonsoir,

J'ai appris cet après midi la bien triste nouvelle du départ de Josiane avec qui j'ai travaillé quelques mois à Clamart. Je tiens à présenter à ses proches et plus particulièrement à ces 2 filles mes plus sincères condoléances. Nous sommes nombreux à Clamart à être particulièrement choqué par ce départ précipité.

Catherine SURBLED- 20-09-11

C'est avec une immense tristesse que nous vous présentons nos plus sincères condoléances .
Nous garderons toujours à l'esprit en Josiane une personne souriante et joyeuse.
Des amis du RAC rando: Frédérique et Gilles

Frédérique et Gilles Buty-Rouly- 28-07-11

Chère Josiane,
J'ai appris cet après midi (20/09) que vous nous aviez quittés. J'allais justement vous recontacter suite à votre mail d'avant vos vacances et à ma réponse en aout restée sans réponse (et pour cause !). Nous devions diner ensemble à la rentrée...
Nous n'avons travaillé ensemble que quelques mois à Clamart et dans des conditions particulièrement difficiles pour vous. Je tiens à saluer votre professionnalisme. Sous la Josiane parfois un peu "braque", il y avait une Josiane pleine de vie, d'humour et de persévérance. Je ne suis pas prête d'oublier notre dernier diner à Carrières sur Seine. Bon Vent !

Catherine SURBLED- 20-09-11

Bien chère Josiane,
Le RAC Rando est en deuil... et je suis en deuil et triste à cette heure où, au Mans, quelques représentants de notre Club te rendent un dernier hommage et te disent Adieu. Comme il va être difficile de cheminer sans toi à nos côtés, avec ton seul souvenir. Et le souvenir que je garde de toi est celui d'une chic fille, une vraie personne sans fard et sans chichi, à la fois grave et souriante, responsable, attentionnée, toujours prête à soigner nos bobos, active, toujours devant, comme un "éclaireur". Tu vas nous manquer. Adieu Josiane.

Brigitte DELAVERNHE- 29-07-11

Ma Josiane, que te dire ?
Tous les poèmes du monde n'y suffiront pas...
Durant les 3 années que je t'ai connue, tu as été ma lumière, mon soleil
Tu m'as redonné le goût de vivre
Tu es partie si vite, pour une bétise alors que tu étais si heureuse, et maintenant tu nous laisses en enfer
Fichu destin, pourquoi toi, si jeune, si pétillante, si prudente mais tu nous l'a prouvé, malheureusement si fragile
Long doit être le temps pour oublier tes "punaises", ta voix, ton rire, ton sourire
Alors, j'espère que de là-haut, quant tu nous regarderas, nous serons dignes de toi, dignes d'accomplir nos vies comme tu aurais voulu qu'elles se déroulent, en suivant tes conseils
Je t'embrasse tendrement
Philippe qui ne t'oubliera jamais

philippe gaudas- 27-07-11